Il est constaté que de plus en plus de personnes se lancent dans le e-commerce. Selon la Fédération de la Vente à Distance et Médiamétrie, c’est un secteur qui connait une évolution moyenne de 15% depuis ces cinq dernières années. Mais qu’est-ce qui pousse alors les gens à se lancer dans ce business ?
Un minimum de charge
Il est difficile de faire moins cher en matière de commerce au niveau des charges. En effet, l’e-commerçant n’aura pas de loyer à payer pour ses locaux. De ce fait, les factures d’électricité et d’eau ne sont pas présentes. Il travaille de chez lui et paye autant ou presque que s’il ne travaillait pas.
Par ailleurs il peut même se permettre de ne pas prendre d’employé car il gère toutes les commandes sur la journée. Dans le cas d’un commerce, il peut y avoir des périodes fastes où il faut répondre rapidement, dans le cas contraire, le risque est de perdre le client. Ainsi, les magasins ont plusieurs vendeurs en permanence pour répondre à une hausse des demandes d’informations.
Les seules charges qu’il aura seront donc l’hébergement numérique et les charges fiscales. En plus, il n’est même pas nécessaire d’avoir un stock avec la possibilité de passer par le dropshipping comme l’explique Passion Ecommerce :
Un maximum de vente
Les ventes sur les sites d’e-commerce doivent être normalement plus élevées qu’en boutique. En effet, si le travail de webmarketing et le processus de qualité ont été bien respectés par l’e-commerçant, le public est beaucoup plus large sur la toile qu’en boutique physique. Et sachant qu’en moyenne les Français dépensent 75 euros en achat numérique, le calcul est vite fait. Il faut donc réussir à se démarquer et à capter du trafic ciblé.
Expansion sur le marché
Le commerce numérique permet aussi une expansion beaucoup plus importante qu’une boutique physique. Il est possible d’atteindre plus facilement les cibles et de faire une segmentation de la clientèle notamment grâce à des aides comme Adwords ou encore les pages pro de Facebook. La publicité sur ce dernier réseau social peut être poussée en terme de sélection car Facebook connait l’âge, le sexe, la localisation et même les goûts de chaque membre. Pour prendre un exemple simple, une e-boutique vendant une crème miracle contre le vieillissement pourra cibler des femmes de 40-60 ans alors qu’un site marchand dédié aux stages enfants d’initiation à la voile pourra cibler les parents de 30 à 45 ans.