Fille ou garçon : et vous, voulez-vous connaître le sexe de votre futur enfant ?

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À chaque grossesse, une question revient. Garçon ou fille ? Si la majorité des parents déclarent vouloir au plus vite connaître le sexe de leur futur enfant, quelques-uns sont plutôt excités à l’idée de ne pas connaître cette information.

Le choix du roi

S’il est une question qui alimente les conversations, c’est bien celle qui concerne le genre du bébé à venir. Deux camps s’opposent en la matière. Ceux qui veulent le savoir avant l’ accouchement, et ceux qui préfèrent garder la surprise jusqu’au bout. Ce que l’on constate souvent, c’est que les couples qui ont ardemment désiré leur enfant ne peuvent tenir sans savoir s’il s’agira d’un garçon ou d’une fille. Ils se fient alors à toute sorte d’astuces pour essayer de prédire le sexe de leur bébé à naître. De la date d’ovulation selon le calendrier chinois à l’alimentation, salée ou sucrée en fonction des envies en passant par le recours à un pendule, il existe quantité d’idées, parfois farfelues, permettant, soi-disant, de savoir avant l’heure s’il s’agira d’un garçon ou d’une fille. Souvent, cette volonté de savoir est plus forte lors d’une première grossesse.

Si vous avez eu une fille, ou inversement un garçon, pour votre seconde grossesse vous voudrez certainement ce que l’on appelle communément « le choix du roi ». Si autrefois la reine devait enfanter d’un garçon pour que la succession ait bien lieu, aujourd’hui cette volonté d’avoir deux enfants de sexe différent est plus une question d’idéal social de bonheur.

Cependant, certains parents vont préférer une tribu de garçons ou une tribu de filles. Mais d’autres ne s’attachent pas du tout à cette question.

Vouloir savoir

Généralement, les parents qui veulent savoir justifient leur choix par la volonté de faciliter l’organisation avant la venue du nouveau bébé, et par le fait personnifier la grossesse et l’enfant. On choisit un prénom, on prépare la chambre, les vêtements, on dialogue plus facilement avec les éventuels frères et sœurs. En somme, connaître le sexe du bébé permettrait de mieux se projeter.

Ou ne pas vouloir

Ceux qui ne veulent pas connaitre le sexe de leur enfant souhaitent simplement conserver une part de mystère. Ils veulent accueillir ce que la vie leur a réservé sans avoir besoin de tout connaître à l’avance.

De plus, ils avancent que lorsque l’on ne sait pas, on ne peut pas projeter nos propres attentes sur l’enfant à naitre (va-t-il me ressembler, va-t-il aimé la musique comme moi…), et donc ne peuvent être déçus.

C’est au cours de la seconde échographie que l’on peut connaître le sexe de son bébé. Cependant, le médecin n’y parvient pas toujours, selon la position de l’enfant. Dans tous les cas, parlez-en au préalable à votre partenaire, de façon à ce qu’il n’y ait pas de flottement au moment où le praticien vous demandera si vous voulez savoir !

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